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Wallonie-Bruxelles poursuit son engagement pour l'éducation des filles en Afrique avec l'UNESCO

Maxime Woitrin, Louise Haxthausen, SEM Hajo Sani, Pascale Delcomminette, SEM Obinna Onowu
Maxime Woitrin, Louise Haxthausen, SEM Hajo Sani, Pascale Delcomminette, SEM Obinna Onowu

Suite au succès de l'exposition "Portraits d'agents du changements - promoteurs de l'éducation des filles au Nigeria " d'octobre dernier à l'UNESCO, Wallonie-Bruxelles poursuit son engagement en montrant l'exposition à son siège à Bruxelles.

 

Pascale Delcomminette, Administratrice générale de Wallonie-Bruxelles International (WBI) – le Département des Affaires étrangères des gouvernements belges francophones, a accueilli le jeudi 26 janvier au siège de WBI à Bruxelles Son Excellence Monsieur Obinna Onowu, Ambassadeur du Nigéria auprès du Royaume de Belgique, Son Excellence Mme l’Ambassadrice Hajo Sani, Déléguée permanente du Nigéria auprès de l’UNESCO, Mme Haxthausen, Directrice du Bureau de l’UNESCO à Bruxelles, ainsi que Maxime Woitrin, le Délégué général adjoint de Wallonie-Bruxelles à l’UNESCO pour le vernissage de l’exposition "Portraits d'agents du changements - promoteurs de l'éducation des filles au Nigeria ".

Cette rencontre s’est réalisée à l’occasion d’une exposition de portraits plaidant pour l'importance de l'éducation des filles et des jeunes femmes, la continuité de leur apprentissage et la nécessité d'un engagement continu en faveur de l'égalité des genres dans et par l'éducation, deux jours après la journée internationale pour l’éducation. L'exposition, au siège de WBI à Bruxelles jusqu’au 14 février 2023, présente des portraits émouvants et sources d'inspiration d'acteurs du changement, de membres de la communauté et de filles, et raconte l'histoire d'une communauté qui se mobilise pour l'éducation des filles.

La pandémie de COVID-19 a creusé les inégalités dans la région de l'Afrique subsaharienne : les filles et les jeunes femmes sont les premières à quitter l'école, les moins susceptibles d'apprendre à la maison et les dernières à retourner en classe. Pour préserver les progrès accomplis et plaider en faveur de l'éducation des filles, l'UNESCO a déployé sa campagne "Les filles au premier plan" dans quatre pays d'Afrique subsaharienne, le Bénin, le Mali, le Nigeria et le Sénégal, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles.

Le combat pour l’éducation des filles est une priorité absolue pour Wallonie-Bruxelles. En ce point, Wallonie-Bruxelles rejoint deux des priorités de l’UNESCO : l’Afrique, et l’égalité des genres à travers le vecteur de l’éducation.

Pascale Delcomminette a souligné l’honneur pour Wallonie-Bruxelles d’avoir pu contribuer au projet : « L'éducation des filles est l'un des investissements les plus importants que nous puissions faire pour notre avenir collectif. Lorsqu'une fille bénéficie d’une éducation, l’impact positif est considérable. L’éducation des filles renforce l’économie, réduit les inégalités et crée plus d'opportunités pour tous ».

Au Nigéria, mais aussi au Sénégal, au Mali et au Bénin, des actions de sensibilisation avec le soutien de Wallonie-Bruxelles ont permis de toucher plus de 9 millions de personnes, dont plus de 6 millions de filles et de jeunes femmes.

Lors de leurs interventions, l’Administratrice générale de WBI, l’Ambassadeur du Nigéria et la Directrice de l’UNESCO à Bruxelles ont souligné l’importance fondamentale de l’éducation des filles. Tant l’UNESCO que le Nigéria ont salué le soutien de Wallonie-Bruxelles à ce projet.

 

Exposition du 26 janvier au 14 février | WBI - 2 place Sainctelette, 1080 Bruxelles

Pascale Delcominette  - © J. Van Belle WBI
Louise Haxthausen - © J. Van Belle WBI
"Portraits d'agents du changement" pour l'éducation des filles - © J. Van Belle WBI